Les courants bouddhistes comme la Soka Gakkai ont prouvé leurs bénéfices pour la santé mentale de l’individu. Nous vous en présentons quelques-uns dans cet article.
Trouver la paix intérieure
Pour beaucoup de thérapeutes, la forme principale d’entraînement mental est la méditation. Des recherches ont montré que cette activité a de nombreux bénéfices pour votre santé mentale. Parmi eux, on retrouve notamment : la réduction du stress, de l’anxiété et de la dépression. Au fur et à mesure que vous pratiquez de la méditation, vous vous rendez compte que vos pensées deviennent plus positives.
La méditation peut être pratiquée de différentes manières : respiration profonde, yoga, chant… Son objectif est d’assurer la compréhension et le contrôle de l’esprit afin d’atteindre l’illumination ou le nirvana. Le nirvana est un état mental de paix et de bonheur ; c’est l’état le plus élevé qu’une personne puisse atteindre dans le bouddhisme.
Établir des liens
L’un des principes fondamentaux des bouddhistes est qu’il ne faut pas avoir d’autre but que d’aider quelqu’un.
Dans le bouddhisme, toutes les personnes sont égales. Jason Henninger, l’expert bouddhiste précise à ce propos : « Le bouddhisme donne à une personne le sentiment d’être une vague dans l’océan plutôt que de sentir que sa vie est un phénomène isolé ». Il ajoute «Une vague est une vague, mais elle n’est pas séparée du reste de l’océan ».
Le bouddhisme donne à ses pratiquants un profond sentiment de connexion sans perte d’identité, et jamais en termes de supériorité ou d’infériorité par rapport aux autres. »
Être responsable de nos actions
Le karma est un idéal bouddhiste souvent mal compris. Alors que la plupart des gens le voient comme « on récolte ce que l’on sème », le karma dans le bouddhisme englobe en fait l’idée qu’une personne a la capacité de changer les circonstances auxquelles elle est confrontée dans la vie. Il s’agit d’une doctrine de responsabilité et d’autonomisation. Pour un bouddhiste, l’espoir est une décision.