Le hockey sur glace est connu pour être un sport alliant force, technique souplesse et rapidité. Il était plus pratiqué par les hommes. Cependant, les femmes également jouent au hockey sur glace et justement, le hockey sur glace féminin est en train de prendre une dimension tout autre. On vous en dit plus avec le président des Ducs d’Angers, monsieur Michael Juret.
Le hockey féminin connait une ascension folle
Le hockey féminin a connu une grande ascension, et ce depuis quelques années déjà. En effet, certains grands entraîneurs d’équipe féminine de hockey ont assisté à l’intégration de beaucoup de filles. Ils affirment avoir été témoins de cette grande révolution dans le hockey mondial.
Une révolution au cours de laquelle, les filles venaient de plus peu plus nombreuses s’entraîner jusqu’à épuisement. Ce qui leur a permis de gagner en compréhension de jeu, en rapidité et en technique pour ensuite commencer à gagner des trophées.
L’une des figures de cette révolution se nomme Marion Allemoz. Elle est la capitaine de l’équipe féminine de hockey française. Elle compte aujourd’hui plus de 210 sélections avec son équipe. Elle affirme que ce sport était une activité qu’elle pratiquait en famille avec ses frères et sœurs avec que cela ne devienne pour elle une passion. Son histoire inspire aujourd’hui beaucoup d’autres filles.
Les Françaises championnes du monde sur les terres angevines
Pour la deuxième fois de leur histoire, les joueuses de l’équipe de France de hockey sur glace sont championnes. Elles sont devenues championnes après avoir pris le dessus sur la Norvège, sur un score de 4 à 1. Cette rencontre a eu lieu à Angers devant près de 4000 fans et amoureux du hockey sur glace.
Ce match décisif comptait pour une qualification pour le Championnat du monde la prochaine saison. En effet, grâce à cette victoire les joueuses de l’équipe de France auront donc la chance de disputer la coupe du monde de hockey 2023, et cela, en 1re division.
Il est important de rappeler que les hockeyeuses françaises ont 3 matchs déterminants de leur qualification sur la patinoire des Ducs d’Angers. Elles ont par exemple pris le dessus sur les joueuses slovaques (avec 4 buts à 0), sur les Néerlandaises (avec 4 buts à 1) et enfin sur les Norvégiennes (avec 4 à 1).
Sans oublier qu’elles se sont également inclinées à une seule reprise sur un score de 2 buts à 1 contre les Autrichiennes. Cette défaite a été l’unique et a même eu lieu au bout des prolongations.
Autrefois, les Françaises avaient été leaders de la 2e division de la coupe du monde en France (plus précisément à Vaujany) en 2018. La joie de cette victoire n’a pas du tout duré, car l’année qui a suivi elles n’ont eu qu’une victoire contre 3 cuisantes défaites.